Partager, pourrait-être le slogan de notre association
L’un des but de notre association est le partage de savoir et d’expérience, nous vous proposons sur cette page, nos petits trucs et astuces qui nous aide au quotidien !
Les filets pour les bacs à foin
Nous avons fait le constat que si le foin était répartie dans des bacs ouverts, les chevaux le gaspillait en le mettant par terre puis en marchant et urinant dessus. Comme nous souhaitons que nos chevaux ai du foin à volonté toute la journée, mais que nous ne pouvons assuré qu’un passage par jour, nous avons installé des filets par dessus les bacs de foin. D’un part pour que les chevaux ne gaspille pas trop de foin et d’autre par pour qu’il mange plus doucement, ce qu’il leur permet d’avoir du foin toute la journée et de s’occuper en le mangeant.
Nous utilisons pour cela des filets de but de foot ou de hand, ou encore des filets de volley, que nous récupérons auprès de mairie, de collège ou d’association sportives qui les changent et veulent se débarrasser des anciens.
Pour les attachés nous avons expérimenté plusieurs systèmes, mais celui qui nous semble le plus pratique est de les « tresser » avec un élastique de saut en hauteur pour pouvoir fixer les filets sur les bacs.
Les plaques en bois pour les aires de pansage
Des le premiers hiver de l’association, nous avons voulu installer des aires de pansage à coté de notre cabane pour pouvoir faire les soins des pieds notamment, au sec. Hélas le budget étant réduit il fallait trouver une solution peu coûteuse.
Nous sommes tombé par hasard, dans un magasin de bricolage/agricole, sur de grandes plaques de bois de 120 par 40 cm et avec 5 cm d’épaisseur, qui sont en faite des « moules à parpaing » ou plutôt des planches où l’on démoule les parpaings. Sur ce site ils expliquent la fabrication des parpaings : fabrication de parpaings et on voit les planches qui forment les étagères en photo 2, 3 et 4. Nous les achetons 4€ pièce et 6 plaques nous permette de réaliser une aire de pansage pour un cheval.
On peut en trouver dans certains magasin de bricolage qui vendent des parpaings, car souvent ils sont livré sur ces plaques. Pour les fixer entre elle nous avons utilisé des pattes d’assemblage et des visses.
Cela fait 3 hivers que nos plaques sont installées et pour l’instant elles ne bougent pas, l’état est très correct.
Un autre usage du nose-band avec un mousqueton bien pratique
Lorsque j’ai commencé à monter ma jument, elle était parfois un peu fofolle. Ses allures étaient parfois cahotiques, et son comportement en balade, souvent imprévisibles, la faisait parfois se cabrer ou s’écarter brusquement. Dans ces cas-là, on a tendance à s’accrocher aux rênes, et donc à tirer sur la bouche du cheval… Comme j’ai une simple selle classique, j’ai donc attaché une lanière de cuir, en l’occurrence le nose-band de mon filet, dont je n’avais pas l’usage, aux deux anneaux de ma selle, sur le devant. J’ai donc une poignée solide et très pratique en cas d’écart !
Quand ma jument est à l’attache, je passais les rênes dans les étriers, pour ne pas qu’elles traînent à terre. Mais la maligne arrivait souvent à se détacher, puis à aller brouter quelques mètres plus loin. Et les rênes glissaient systématiquement, pour se retrouver entre ses antérieurs ! Après avoir cassé une paire de rênes; j’ai eu l’idée d’attacher un mousqueton (un simple mousqueton en plastique acheté quelques centimes au rayon escalade) à l’anneau situé sur le devant de ma selle. Plus de souci de rênes qui glissent !
En rando, lorsque ma jument suit tranquillement un autre cheval, attacher les rênes ainsi me permet tranquillement de sortir mon téléphone, lire une carte ou boire dans ma gourde !
Des caillebotis pour avoir les pieds au sec
Après deux hiver les pieds dans la boue, l’association à mis en oeuvre des solutions pour améliorer le confort des chevaux l’hiver. C’est ainsi qu’avant l’hiver 2014-2015, nous avons installé des dalles en bois dans le pré d’hiver. C’est donc 48m² de plaques bois qui ont trouvé leur place devant les bacs à foin, sur le modèle des dalles de pansage. Hélas la mise en oeuvre n’était pas satisfaisante, les chevaux glissait, la dalle était trop petite pour 8 chevaux, etc…
Pour cet hiver 2015-2016, nous avons donc opté pour une solution plus durable et plus sécuritaire.
Ainsi 100m² ont été terrassier pour arriver sur le sol caillouteux qui compose nos champs et pour optenir une zone bien plane afin d’accueillir les caillebotis.
Du sable a également été étalé sur cette zone afin de permettre une meilleur stabilité de la zone et afin de drainer l’eau et les urines.
Nous avons acheté d’occasion sur le bon coin 80 caillebotis de 0,5m par 2,25m, il pesait chacun 140kg. Autant vous dire qu’il a fallu trouver un camion adéquat pour faire le transport. Ces caillebotis nous ont coûté 7,5€ pièce, sachant qu’elles valent environ 15€ neuves.
Le bras du camion les a décharger par pile de 7 et par groupe de 4 à l’aide de sangle nous les avons déplacer pour les installer les une à coté des autres. C’est un travail très physique, il vaut mieux prévoir d’être nombreux.
Le résultat est très satisfaisant pour le moment. Nous verrons après avoir passer un hiver dessus.
